Jugées trop inquiétantes face à la régulation sécurité routière dans la capitale, les motos taxis, sont de plus en plus nombreuses sur la circulation au centre ville de Conakry et dans ces périphéries.
Face à cette situation inquiétante, les services compétents de la sécurité routière, ont tenus le weekend une grande concertation, en vue de faire face à ce problème épineux qui, éternise l’image de notre ville.
En effet, les motos taxis, est un phénomène de transport de proximité, devenu récurrent en Guinée au début des années 2010. Certes, elles auront de l’influence dans la quasi-totalité de Conakry en 2011, une pratique quotidienne, qui à considérablement contribuée à réduire un peu le taux de chômage au sein de la couche juvénile de la place.
Un facteur important pour les déplacements interurbains, les riverains de Conakry jugent plus ou moins l’avantage et l’inconvénient que jouent les motos taxis pour les citoyens. Au moment des embouteillages sur la circulation, ces petits engins assurent la promptitude et l’efficacité en termes de besoins et de nécessité.
Selon plusieurs analyses recueillies sur place, ces mesures prise par les policières, consistent davantage à protéger la sécurité et le bien être des populations. En outre, elles permettent également à réguler le bon fonctionnement sur la circulation routière et favoriser la tache facile aux agents de la police routière.
Pour Capitaine Souleymane Bamba : « Au regard d’un arrêté portant sur les motos taxis en 2010 ; les motos taxis ont reçu l’autorisation de circuler que dans les préfectures, la capitale Conakry, étant le centre administratif de la Guinée, n’a pas été autorisée par les services compétents. Les gens ne doivent pas se focaliser sur leur intérêt personnel au détriment de l’intérêt général, ces mesures permettront d’éviter l’indiscipline des conducteurs des motos taxis, qui ne respectent point des règles souscrits, comme le port des gilets, des casques et autres, même si, elles assurent le déplacement rapide pour les gens, cela représente une goute d’eau dans un océan » conclue t-il.
Poursuivant, Foulématou Camara, vendeuse « l’interdiction des motos taxis à Conakry, est une question aigue, à partir du moment où, ces motos taxis facilitent le déplacement pour les populations, surtout nous, qui se trouvons dans les quartiers périphériques, elles nous aident vraiment. J’implore les autorités compétentes en la matière, de laisser au moins ces motos taxis de circuler dans les transversales afin d’assurer ce trafic, pour le bonheur des riverains ».
A y réfléchir, la nouvelle mesure de la police, aura créé de vive polémique tant chez les chauffeurs de motos taxis et d’autres couches sociales en vue de satisfaire leurs besoins.
AMS