La Coupe d’Afrique des Nations(CAN) reprend ses droits, pour le plus grand plaisir des amoureux du cuir-rond.
Inutile de revenir ici sur ce que l’on attend d’une telle sensation sur le continent. Années impaires ou non, la CAN reste la CAN, trois semaines de bonheur, de liesse, de stress, de larmes ou d’adrénalines, de rassemblements devant le poste en famille entre amis, au maquis, au café ou dans la rue.
Dans une compétition, il y a toujours les émotions, et il y a le spectacle. Sans talent, le football n’est rien, on peut gagner avec une équipe de joueurs appliqués et disciplinés, bien sûr, mais pour véritablement prendre du plaisir, nous avons besoin d’artistes sinon de stars. Or il faut bien l’avouer, le continent, en la matière, semble de nos jours stériles.
BIS