Dans le cadre du développement socio-économique d’un pays ou d’une nation, la libre circulation des citoyens et leurs biens restent un facteur important. Mais, en Guinée, le problème de circulation est un quotidien.

 

La problématique du transport urbain a Conakry demeure un parcours de combattant pour les travailleurs et tout autre citoyen. Dès 6 heures du matin, les axes routiers sont remplis de passagers de tous genres. Cette crise de déplacement est une opportunité pour les conducteurs de dicter leurs lois. D’où, il ya une pratique de surcharge dans l’embarcation et cela se passe parfois sous les yeux des agents de police routière. Ce manque d’application de lois leur fait des complices ou incapables aux yeux des citoyens.

Quelques sentiments par rapport aux problèmes routiers.

Idrissa Camara, conducteur de taxi : « Nous sommes obligés de faire la surcharge et le découpage d’itinéraires. Sinon, avec de multiples bouchons et de tracasseries policières nous gagnons peu. Ce n’est pas bien mais, il le faut ».

Dramé Aminata, « Je suis une femme en état de famille, je me rends à l’hôpital ; je suis obligée de payer deux places pour être a l’aise dans le taxi.

Sira Condé : « La surcharge des passagers dans les véhicules nous fatigue énormément. Mais, on y peut rien ».                                                                                                                   

A souligner que c’est l’Etat qui met la population guinéenne dans toutes ces difficultés. Puisqu’il est toujours pointé de doigt de tous ces problèmes. L’Etat est fort et il peut amener des moyens de déplacement pour le transport commun.

BIS