Le message (sms) est devenu un système ou un moyen de communication préféré de la jeunesse Guinéenne. Partout dans les rues, à la maison, en classe et même aux services les gens sont occupés par le téléphone. La diversité des sociétés de téléphonie mobile dans notre pays a révolutionné le mode de vie dans notre Capitale et dans les nos villes. Avec les systèmes d’achat de messages (sms), tout les jeunes sont devenus accros au texto. Cette communication par (sms) remplace parfois les appels vocaux. Plus de 90 jeunes sur 100, arrivent par exemple à s’acheter des (sms) rien que pour communiquer. Il achète 100 ou 500 fg avec le code S1 pour une durée de 5 à 7 jours.
Les appels ne sont plus à la mode la génération (sms) comme on les appelle se sent a l’aise avec les textos qu’elle trouve discrets et économique, En plus dans ce système tchater avec plusieurs amis en même temps est possible le fait de lire la personne sans l’entendre rend la communication plus facile et ouverte. Ainsi, même les sujets les plus compliqués sont débattus sans aucun gêne ça drague, ça trace des programmes. Selon Aboubacar Keita élève affirme : «En ce moment de conjoncture actuelle c’est très difficile, mais avec des (sms) on nous facture moins ».
Fatoumata cissé étudiante ajoute c’est avec le message on communique l’essentiel sans abuser des crédits, par contre, les parents eux restent sceptiques avec un air plutôt critique. Pour eux ce phénomène de message est un fait négatif qui distrait les jeunes de nos jours, à cause des abréviations excessives que les textos utilisent, ils perdent toutes les règles académiques de grammaire et d’orthographe. ‘’Je suis en message on écrit « sw8 »tu fais quoi « u fé kW » en classe les élève sont plus branchés à leur clavier de téléphone a la maison la même chose .Aujourd’hui, ils sont nombreux à pouvoir manipuler leur clavier même les jeux fermes, la génération sms a son compagnon permanent le téléphone portable.
En claire, cette pratique est plus que jamais devenue, un phénomène grandissant, provoquant tant bien que mal les conséquences multiples, surtout l’art d’écrire de manière académique.
AST