Dans le cadre de rendre la Capitale propre et attirante, le combat doit être relatif à tous les niveaux. A cette raison, les sociétés productrices et utilisatrices de plastiques doivent jouer le rôle d’acteurs de la propreté. Car, elles contribuent beaucoup à l’insalubrité.
Si les ordures ménagères sont rencontrées partout dans la ville en tas de montagne, il est aussi important de reconnaitre que les sachets d’eau qui jonchent dans la ville contribuent tristement à aggraver la situation.
La gestion des ordures ménagères et des sachets d’eau est devenue une problématique pour la population riveraine. Car, malgré les multiples efforts consentis par les autorités à travers les sensibilisations avec l’implication des ONG et autres partenaires de la place. Mais, on constate que les efforts fournis semblent vain. ces sachets d’eau quotidiennement consommés à maints lieux et sont jetés à descend à des endroits sans se soucier de l’insalubrité qu’ils offrent. Dans les rues et partout dans la capitale, le spectacle est de même.
A cet effet, aucune précaution n’est prise par les citoyens pour mettre un frein à l’abandon des sachets d’eau après utilisation. Pour cela, une lutte contre ce mauvais comportement qui consiste à abandonner les sachets d’eau partout après l’utilisation doit être envisagée. Il faut comprendre d’abord que les sachets d’eau ne sont pas facilement destructibles comme les autres ordures qui polluent l’atmosphère. C’est pourquoi, il est nécessaire d’impliquer des groupes d’individus, des sociétés devant s’occuper du ramassage. Ensuite, trouver des possibilités de transformation de ces sachets en qui à quelque chose qui régénère de revenus et qui crée de l’emploi.
Pour Abdoulaye Barry vendeur « Je paye les plastiques d’eau aux enfants à 1000fg le kilo et je revend à 1500 fg ou 2000fg, selon le programme des chinois. Il y a deux usines l’un a Concasseur et l’autre à Manéah, je préfère Manéah parce qu’il prend les sachets d’eau et les plastiques. Eux à leurs tours, ils les transforment en bassine, sceau et autre en plastique. Je décide de n’est plus vendre parce je rencontre des difficultés à l’usine et je n’ai pas ou le stoker »
Pour Ismaël « je ramasse les plastiques pour aller vendre à l’usine qui me permet de gagner de l’argent et satisfaire certains besoin.je demande au gouverneur d’aller dans ces usines de sachets de plastique pour les encouragés pour qu’il puissent ne pas faire la différence entre les plastique ».
En tout cas, en attendant qu’une solution idoine ne soit trouvée, il faut reconnaitre que les sachets d’eau et plastique contribuent de façon croissante et efficace à l’insalubrité de notre environnement. Hors pour un esprit sain il faut un corps sain.
BIS