Jadis, si des relations humaines particulières et teintées de pudeur, l’éducation et le respect mutuel existaient entre les adultes et les jeunes filles, de nos jours, cette façon de voir les choses a cédé le pas à des assurances de nature plutôt financières et sexuelles. Malheureusement, les méfaits de ce manque de responsabilité sociale sont évidentes aujourd’hui, quelles nous sautent encore aux yeux. La morale en fuite ?
Voilà peut-être, pourquoi, la destruction de nos bonnes habitudes, perversion, le libertinage de la prostitution et voir même la propagation des maladies sexuellement transmissibles comme le sida, la gonococcie, la chaud de pisse, la syphilis, et que sais-je encore, perdurent encore sur le terrain.
En tous les cas, ce ne sont pas les grandes rencontres du genre, les foras ou les colloques qui arrêteront le désastre aussi longtemps que ces pratiques se trouvent encore voilées dans du Satan.
Où en d’autres termes, cela devient plus compliqué lorsque ces vielles personnes savent déjà en tête, que des pulsions freudiennes de jeunesse de leurs jeunes partenaires peuvent valablement les dépanner. Et comme toujours, c’est la pauvre vulnérable qui en paie les frais. D’ailleurs, comment peut-elle faire autrement ?
Mais, pour nous amener à survoler un peu le phénomène, une question intéressante : Pourquoi les jeunes filles ont de plus en plus tendance à fricoters avec des hommes beaucoup plus âgés qu’elles ?
Pour cet homme religieux, ces relations sentimentales disproportionnées ne peuvent pas être basées que sur l’amour. Alors, pourquoi sont-elles là ? Lui ai-je demandé : «L’argent, seulement l’argent », répondit-il l’air rêveur. Et d’ajouter : «L’on doit se résoudre au nom du principe de la moralité auquel la raison humaine adhère, à éliminer ce genre de comportement mal saint de nos habitudes », lance-t-il non sans regret. Mais est-il déjà trop tard ? On ne le croit guère ! Et comme les habitudes ont la vie dure chez nous, et tout comme la pauvreté grandissante qui assaille les familles entières, le phénomène continu à prospérer de sa plus belle manière et la vie continue aussi de plus belle. Pendant ce temps, chez les jeunes filles, les besoins sans cesse grandissant de l’aisance financière et du confort animent permanemment leur vie. Leur souci majeur, toujours en quête de dernière mode vestimentaire à travers la télévision, l’Internet ou les revues de presse.
Elles se tordent toujours de chagrin en voulant à tout prix être possesseur des plus belles robes ou jupes, de parures, de montre, de téléphone portable de dernière génération, etc. Des rencontres mondaines, des cérémonies de type familial ou communautaire les poussent quotidiennement à toujours renouveler leurs stocks d’habits. Difficile de les extraire de ce complexe généré par une certaine crise de personnalité. Aux parents donc de veiller sur leurs progénitures au risque de les voir se faire croquer à pleine dent, par des rats du sexe à tout faire du sexe et encore du sexe.
Le noctambule