Depuis 1999 le monde entier célèbre chaque 25 Novembre la journée internationale de la violence faite aux femmes, sous l’égide des Nations unies. Ces violences sont souvent du genre sexuel, physique et psychologique.
En effet, 1/4 de la junte féminine subisse cette sauvagerie à travers le monde, dans la plupart des cas, elles sont victimes de viol avant l’âge de 15 ans.
Face à ces cris d’alarme, 52 pays ont ratifié les violences conjugales en vue de punir les potentiels auteurs de ces crimes. Ce vendredi 25 Novembre marque également, une nouvelle ère pour la remise en question des lois internes punissant tout abus sur les femmes.
Notre pays la Guinée s’active efficacement sur la lutte et la protection des violences à l’égard des femmes. Par ailleurs, nous constatons, de multiples abus sur les filles en situation de domestique, rare d’entre elles qui osent dénoncer ou porter plainte contre leurs agresseurs. Elles estiment sur ce cas de figure, elles perdront leur travail, étant donné qu’elles se trouvent dans une situation d’impuissance, que faire ?
Plusieurs organisations non gouvernementales en partenariat avec le ministère de tutelle sont montées au créneau afin de mettre en place un cadre juridique, permettant de lutter contre cette brutalité.
D’après une récente enquête, 2 ,6 milliards de femmes sont victimes de harcèlement sexuel à travers le monde et 133 d’entre elles subissent les violences génitales sur en Afrique et en Asie.

AM