Il n’est un secret pour personnes que récemment le gouvernement guinéen avait offert des sommes d’argents pour tous les mendiants qui étaient dans les places publiques notamment à la grande mosquée Fayçal, à la mosquée sénégalaise et autres pour leur autonomisation afin de quitter ce milieu qui n’honore pas la société.

  Depuis cet acquis certains avaient compris jusqu’à quand et aujourd’hui on assiste à leur retour sous le pont de la grande mosquée Fayçal, à l’alentour de la dite mosquée ou encore à la mosquée sénégalaise situation ou bon nombre de guinéens prenne ça comme une grande inquiétude pour le gouvernement et la société guinéenne.

 Face à cette situation déplorable, il est temps de prendre à bras le corps pour faire de ce milieu où ceux qui font la mendicité arrivent à se prendre en charge mais, il est important de souligner que ces gens avaient commencé ça depuis fort longtemps  et d’autres ont même grandis dans cette situation.  A en croire certains observateurs de la place, l’Etat doit faire face à cette problématique de mendicité dans notre pays et de sur quoi on rencontre ces mendiants dans les places publiques au vue et au sue des autorités sans qu’ils ne soient inquiéter.

C’est pourquoi, il est temps que le gouvernement à travers le ministère de l’Action Sociale de la Promotion Féminine et de l’Enfance  créent des cadres d’épanouissement et d’autonomisation de cette couche parce que la présence de ces mendiants dans nos places publiques donne une mauvaise image de notre pays aux yeux  des étrangers ou des investisseurs et parfois empêchant même la circulation. De nos jours, il est important d’attirer l’attention des autorités à tous les niveaux de cette situation inquiétante qui, le nombre de mendiants ne fait que s’accroître en longueur de journée et ça dans les places publiques  sans être inquiéter.       

Dans les coulisses, au sein de ces mendiants, certains nous font savoir qu’ils n’ont pas  d’autres sources de revenu si ce n’est pas se livrer à cette pratique qui n’est pas bonne mais face à l’impossible on n’est obligé de se soumettre aux aléas de la pauvreté. 

BIS