Le 14 juin la Coupe du Monde Russie 2018 reprend ses droits, pour le plus grand plaisir des amoureux du cuir-rond.
Inutile de revenir ici sur ce que l’on attend d’un tel engouement sur le continent. Année impaire ou pas, la Coupe du Monde reste la Coupe du Monde, quatre semaines de bonheur, de liesse, de stress, de larmes ou d’adrénaline, de rassemblements devant la TV en famille entre amis, au maquis, au café ou dans la rue.
Dans une compétition, il y a toujours les émotions et les spectacles. Car, sans talent, le football n’est rien. On peut gagner avec une équipe de joueurs appliqués et disciplinés, bien sûre, mais pour véritablement prendre du plaisir, nous avons besoins d’artistes sinon de stars. Or, il faut bien l’avouer, le monde, en la matière semble de nos jours stériles.

BIS