Le combat contre les maladies passe nécessairement par une bonne éducation, l’information, la communication sur le danger de l’insalubrité au sein de la famille, de la communauté et l’ensemble des lieux de concentration humaine.

Depuis l’annonce par les autorités compétentes basée sur les résultats du diagnostic des spécialistes de la santé, la fièvre Ebola, la Rougeole, le Choléra, la Méningite, l’inquiétude, grandissante est gravée sur tous les fronts et des vocabulaires nouveaux sur toutes les lèvres.

La cause réelle de certains maladies notamment la fièvre Ebola alimente des grands débats autour des opinions  divergentes de la nature, l’origine, la provenance de cette dernière endémie nouvellement révélée sur le sol sur le sol Guinéen.

La malpropreté des habitations des  voiries urbaines, les marchés des denrées alimentaires, des boucheries sont souvent accusés par les uns et les autres comme vecteur de transmission des maladies.

Dans la manipulation des aliments le long des artères, devant les établissements des activités liées à la vente des aliments, l’hygiène est devenue très préoccupant par les imprudentes vendeuses à cause du non respect des règles d’hygiène publique.

L’assainissement bien qu’inscrit en première ligne par le gouvernement, des efforts restent à faire en vue d’assurer un nettoiement correct des lieux de dépôt d’ordures ménagères dont la quantité déversée quotidiennement par les usagers dépassé de loin la capacité de ramassage.

Pour améliorer la méthode de collecte, de transfert et d’élimination des immondices produites tous les jours dans les différents quartiers et  communes urbaines de la Capitale, la mobilisation de nouveau équipements, la formation de bras valides pour leur utilisation en vue de rendre nos villes attrayantes s’avèrent indispensable.

BIS