Pour démontrer cela on a vu quand l’Etat s’est impliqué dans la lutte contre l’insalubrité. En La tenue de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) en Guinée a largement prouvé à plus d’un titre que l’insalubrité à Conakry tant combattu n’est pas une mission impossible même difficile soit-elle.

Sous peu de temps Conakry a pris un visage différent en ressortant sa valeur et un peu  son image de la perle d’Afrique de l’Ouest. Les fossés d’évacuation remplis de boue des eaux usées tous ont été complètement nettoyés ; les routes dégagés de toutes sortes de saletés, les trottoirs peint en blanc, les rom-points garnis de gazon, tout ceci ont rendu la ville propre et aérée.

La gestion des ordures ménagères et des sachets d’eau est  devenue une problématique pour la population  riveraine. Car, malgré les  multiples efforts consentis  par les autorités à travers les  sensibilisations avec l’implication des          ONG et autres partenaires de la place. Mais, on constate que les efforts fournis semblent vain. ces sachets d’eau  quotidiennement  consommés à  maints  lieux, les tas d’ordures regroupés  et les eaux usées sont jetés  à  descend   à des  endroits  sans  se  soucier  de l’odeur nauséabonde qu’ils offrent. Dans  les  rues et partout dans la  capitale, le  spectacle  est de même.

A cet effet, aucune précaution n’est prise par les citoyens pour mètre  un frein a l’abandon des  sachets d’eau et des tas d’ordures qui jonchent nos rues. Pour  cella, une lutte  contre  ce mauvais comportement  qui consiste à abandonner les  sachets  d’eau partout après l’utilisation doit être jetée dans les poubelles. Il faut  comprendre d’abord que les  sachets  d’eau ne  sont  pas facilement  destructibles  comme  les autres  ordures qui  polluent l’atmosphère. C’est pourquoi, il est nécessaire d’impliquer des groupes d’individus, des  sociétés devant s’occuper du ramassage. Ensuite, trouver des  possibilités  de  transformation de  ces  sachets en qui à quelque chose qui régénère  de  revenus et qui  crée de l’emploi.

Mais quand l’Etat doit  montrer sa capacité et sa volonté  de vaincre l’insalubrité dans la ville de Conakry ?

 Seulement le regret est de voir les vielles habitudes recommencées au niveau de certains coins et recoins  de certains quartiers et commune de Conakry. A Dixinn  par exemple,  les gens de la casse ont repris leurs positions au bord de la route. Surtout avec le tas d’immondice de vielles pièces détachées, des huiles noircies et les tas d’ordures des emballages.

A Taouya, au bord de la mer précisément au niveau du pont les ordures attachées dans plusieurs plastiques bleus superposés forme une montagne.

Donc, il est  important de signaler que l’Etat doit prendre ses dispositions pour mettre fin à cette pratique et débloquer des moyens afin d’assainir la ville et l’environnement. Car, ces saletés sont des sources de maladie.

BIS