Le secteur éducatif est toujours paralysé en République de Guinée. Des établissements scolaires sont complètement aux abois depuis trois (3) semaines. Le mot d’ordre de grève lancé par la Centrale Syndicale, le syndicat libre des enseignants chercheurs de Guinée (SLECG) à sa tête le camarade Aboubacar Soumah.
En Guinée, notamment à Conakry, on ne constate que la fermeture des salles de classe dans les écoles publiques et privées.
Cette grève des enseignants dont la cause principale est l’augmentation des salaires et l’amélioration des conditions de vie des enseignants sur toute l’étendue du territoire national.
Les enseignants dont il s’agit, étaient absents dans les salles de classe et les élèves qui ont effectué le déplacement ce sont retournés sans incident dans leurs familles. Mais, aux environs de 16heures les usagers à leur retour du travail ont constaté dans les carrefours trouvant sur l’axe Hamdalaye-Bembeto et Cosa, dans la commune de Ratoma communément appelé l’axe de la démocratie pour certains, ou les jeunes mal intentionnés étaient venus barricadés les routes dans ces zones.
Selon ce Monsieur qui a requis l’anonymat : La Guinée nous appartient tous, donc, nous devons être unis et faire face à nos problèmes. Car, personnes d’autres ne viendra construire pour nous notre pays.
Les syndicalistes à travers le camarade Aboubacar Soumah et son entourage, ils n’ont qu’à accepter d’être sur la table des négociations avec les autorités en place pour une solution qui mettra fin à cette crise qui ne fait que durée.
Je demande à l’Etat aussi à travers son Excellence, Prof Alpha Condé de ne pas écouter les gens qui ne veulent pas l’évolution de notre pays, d’être un bon père de famille pour mener à bien les destinées de la guinée.

BIS