De nos jours, s’il y’a un problème qui dérange de plus les citoyens de la Commune de Matoto, c’est le manque d’entretien des routes qui existent pendant des années maintenant et la grande absence presque de routes bitumées. Ces réalités pèsent négativement dans les différentes productions des citoyens qui y résident. Si en saison sèche, les citoyens se plaignent de la poussière, pendant la saison pluvieuse, ils se disent confronter à la boue et aux fosses qui deviennent maitresse des lieux. En cette période, les routes sont dés fois difficilement praticables pour n’est pas dire impraticables.
Réalités qui créent ainsi des énormes difficultés dans les mouvements des populations et leurs biens. Depuis l’arrivée de Moustapha Naité, ce secteur d’infrastructure souffre d’insuffisances et de disparités énormes affecte de nos jours sensiblement le développement économique et social de la localité. C’est dire que l’enclavement, les difficultés d’accès à l’eau, à l’énergie et le manque d’infrastructures socio-économiques, comme les marchés sont identifiés comme des problèmes majeurs qui touchent aussi bien les communes de la Capitale.
Ibrahima Camara, résident à Sangoya : c’est vraiment un calvaire pour nous les usagers qui pratique cette route. Aujourd’hui à Sangoya vers corniche, cette route est impraticable, à Gbessia, le pont on ne sait même pas ou elle se trouvent.
Nous demandons le ministre en charge à travers son président de venir au secours de sa population, sinon, nous risquons de voir nos routes endommager.
Saliou Barry, taximan : Sans vous mentir, nous sommes confrontées à des énormes difficultés dans notre Capitale, surtout à Sangoya corniche, les routes sont complètement endommagées et surtout des embouteillages qui nous fatiguent.
Quel rôle joue le ministère en charge ? Moustapha Naité fait quoi ? Nous lançon un appel pressant à l’endroit de nos responsables, de nous venir au secours, sinon nous risquons d’être toujours en panne a cause du mauvais état de nos routes.

BIS