De nos jours il est difficile voire même impossible de trouver un logement convenable au moyens du citoyens guinéen. Sachant que la majorité de la population vie de jour au jour, et ceux qui vivent mieux en son roi Cependant, les concessionnaires ne cesse de faire augmenter les prix de loyer quand il le veut, et la plupart d’entre eux demandent avance colos.
Mr Mamadouba Bangoura nous explique ici les difficultés qu’il a rencontrées : j’ai contacté un démarcheur. Pour me trouver une chambre et un salon a Dixinn et cela n’a pas été chose facile pour moi , de la belle vue de Dixinn, Camayenne ,Cameroun ,Coléyah , Matam en passant par Kaloum, une chambre seulement se négocient entre 150 et 200fg/ pièce , et une chambre salon est négocient entre 250 a350fg ,tandis que deux chambre et salon se négocient entre 800fg et 1000000.par contre si vous voulez un appartement dans les himeble ses appartements également se négocient entre 1500000fg et 2000000fg tout en vous demandant une année et plus .sans oublier les démarcheurs qui, à leurs tour tue à petit feu les client qui les contacte .
Ce pendant dans les autres payes de la sous-région comme le Sénégal, la cote d’ivoire, le mali seule le gouvernement fixe les prix et impose le respect aux concerner de les respecter. Par contre en guinée les concessionnaires se font le luxe de d’augmenter le prix de la location à leurs convenance sans prendre en compte la situation des locataires. Si un citoyen lambda est payer a 1500000fg / mois ou en ouvrier dont le revenu ne tient que de ce qui gagne par jour plus loin les femmes qui sont abandonnée par leurs marie dans les foyer sans soutiens, ou encore une veuve qui perd son marie qui vie seulement que de ce qu’elle vend par jour . L’heure est grave et même très grave si les autorités compétente ses décideurs de l’assembler national et le président de la république tous interpeler à trouver une solution positive afin de remédier à cette pratique étouffante, car a l’allure ou ont vas si cela continue nombreux citoyens finiront d’être les sans-abris.

A.Touré