Monsieur Ibrahima Sory Fadiga, économiste pragmatiste, agent des finances et de trésor sous la première République, consultant financier en Côte d’ivoire directeur de société d’exploitation forestière à San Pedro en Côte d’Ivoire.
Pour une sortie de crise socioéconomique définitive, solution à la problématique posée par le premier régime à propos du referendum de la modification de certains articles de la loi fondamentale
Pour M. Fadiga, la monnaie crée le 1er Mars 1960 et en septembre 1960 nous avons connu la déclaration d’indépendance face aux 51 nations africaines et 81 nations et nous fûmes la 82ème du monde.
Notre pays, la Guinée à son système de gestion économique un virus avec un système douanier de tarification, la formulation du budget national pose problème, cependant des recettes douanières sont exorbitantes avec les efforts, les déclarations en douane se font strictement entre les transitaires la douane. Les services publics en tant que ministre du commerce sont marginalisés. Aujourd’hui, la direction nationale de la péréquation en tant qu’élément de régulation supprimée pourtant son rôle dans la formulation du budget est fondamental. Face à cette situation, il faire prendre garde car ce service ressemble à un déluge, un feu de brousse dévastateur, un passage de sauterelle, un tremblement de terre, une guerre civile meurtrière, un typhon, une catherina dans de tels cas de figures, l’intervention de l’Etat est obligatoire en tout premier lieu celle des organisations de l’ONU et les pays amis.
Nous éviterons dans ce cas de figure de graves conflits de génération qui n’naîtraient de la révision de la loi fondamentale soumise à un référendum. Aujourd’hui l’objectif final est d’apporter une solution idoine à une sortie de crise socioéconomique qui perdure, parvenir à temps les dispositions relatives à la révision de la loi fondamentale.
Parlant du 3ème mandat, le doyen Fadiga dit oui que le président de la République Pr Alpha Condé peut briguer un 3ème mandat par la prise de décision de hautes portées socioéconomique dont trois (3) décrets et une (1) ordonnance.
Parlant de la situation de la BCRG, il y a eu la vente de devises aux enchères autrement dit le marché interbancaire de devises qui est un virus, le système avilissant de l’offre et de la demande, ce système a amené lentement mais sûrement la dépréciation de notre monnaie face au dollar US en franc CFA. Nous a laissé entendre le doyen Fadiga.
Cette situation nous a conduit à une baisse de pouvoir d’achat des masse laborieuses, la hausse des prix causant des dégâts aux services des marchés de l’Etat ne maîtrise pas , la séparation sociale des pouvoirs publics de la base communication , installation des kystes du mal dans la société, indiscipline caractérisée du citoyen guinéen, le mensonge, le faux , l’usage de faux, le manque de vertus du citoyen vers le bien public voici les faits qui envahissent tout le peuple face à l’histoire et paraissent dépêcher sur une explosion sociale éventuellement. Pour le doyen Fadiga la motion face à toute cette situation est de créer la motivation de tout temps résulte du fait que nous sommes guinéens à part entière de cette motion en plus soutiens inconditionnel des plans du chef de l’Etat Pr Alpha Condé.
Rappelant la déclaration sublime à la maison territoriale du 25 Août 1958 le père fondateur de l’indépendance feu Ahmed Sékou Touré disait ‘’ Nous avons, quant à nous, un premier et indispensable besoin, celui de notre dignité. Or, il n’y a pas de dignité sans liberté, car tout assujettissement, toute contrainte imposée et subie dégrade celui sur qui elle pèse, lui retire une part de sa qualité d’homme et en fait arbitrairement un être inférieur. Nous préférons la pauvreté dans la liberté à la richesse dans l’esclavage’’. C’est suite à cette déclaration solennelle du père fondateur de l’indépendance Ahmed Sékou Touré que le peuple de Guinée dans son entièreté globale à cette liberté du joug coloniale 50 ans plus tard , cette déclaration nous a permis de nous libérer de nous institutionnaliser comme toutes nations libres indépendantes du monde, la mise en place.
Par conséquent c’est un droit à modifier la loi fondamentale en ces articles visés plus haut dans l’intérêt du peuple dont il a la charge de conduire les destinées il aura en ce moment la pleine attitude de soumettre cette décision par ordonnance à l’assemblée nationale qui a pour rôle d’examiner statuer et de valider la décision

BIS