Notre pays, la Guinée connait depuis un certain temps, la fleuraison des constructions anarchiques partout à travers la capitale et les préfectures environnantes avec une progression rapide de la population. Aujourd’hui, nous assistons aux constructions le long de la mer avec les étages qui poussent comme des champignons à chaque jour qui fait, de la presqu’île de Kaloum en passant par les corniches Sud et Nord de la Capitale, les gens y construisent partout sans aucune norme internationale, aujourd’hui, les habitants continentaux se plaignent de ces constructions parce que l’air n’ y circule plus et les quartiers connaissent une flambée de chaleur indescriptible et les gens vivent comme situation oblige.
De nos jours, la Capitale Conakry à des problèmes dont il faut faire face notamment, le nombre pléthorique de voitures, le manque de routes, aussi le nombre pléthorique de la population et la capitale ne connait que deux routes principales notamment l’Autoroute Fidel Castro Ruiz et le Prince.
Depuis l’indépendance, c’est-à-dire le temps du premier régime, jusqu’à maintenant, notre Capitale Conakry ressemble à un village des années 60, c’est une Capitale qui ne progresse pas du tout. Du premier président au troisième président, c’est-à-dire, du feu Hamed Sékou Touré à Alpha Condé en passant par le feu général Lansana Conté, le capitaine Moussa Dadis Camara et le général Sékouba Konaté, notre pays est toujours est intacte.
Donc, nos responsables doivent mettre le développement de la Guinée devant. Nous devons prendre l’exemple toujours sur les pays qui sont juste auprès de nous, c’est-à-dire la Côte d’Ivoire, le Sénégal et pour pas les pays qui ont été dans la guerre, comme le Libéria, la Sierra-Léone et le Rwanda du président Paul Kagamé, un président qui à changer l’image de son pays.
Pour le développement de notre pays ou rendre la capitale Conakry plus moderne, c’est de nous donner la main et conjuguer le même verbe pour que l’image de notre pays change. Conakry qui fut la perle de l’Afrique de l’Ouest, aujourd’hui c’est une Capitale qui n’attire que des ordures, des désordres.

BIS