Le stade de proximité, situé au quartier Cameroun, dans la Commune de Dixinn est le seul et unique stade de proximité de la Commune. Il n’est aujourd’hui un secret pour personnes que les routes et les grands carrefours de certains quartiers de la Capitale sont transformer en terrain de football par les jeunes de tout âge des différents quartiers.
La Guinée, une Nation de football doit pouvoir avoir des infrastructures sportives dignes de non. Mais, si l’Etat ne dote pas la jeunesse les infrastructures sportives. Ce sont les rues qui seront barrés, la circulation bloquer, des accidents provoqués, des injures à l’endroit des automobilistes.
On ne finira jamais d’évoquer ce manque criard de terrain de football dans la Capitale. Par exemple, le quartier Cameroun a seul terrain de proximité, mais pour 22 quartiers, comment les jeunes pourront jouer et s’organiser à tous les moments sans crée la pagaille ?
Le stade de proximité de Cameroun doit être aménagé pour les jeunes. Car, qui dit aujourd’hui, le football, parle des infrastructures. Mais, chez nous en Guinée, le football qui est le sport roi, est abandonné.
Ibrahima Sory Yansané, entraineur : « De nos jours, dans certains pays, on joue plus sur les terres battues ou dans la rue à plus sur la route. Le football d’aujourd’hui c’est à l’école, mais en Guinée si l’Etat ne fait pas, personnes ne se montrent. J’accuse l’Etat, mais, nous avons aussi des personnes riches qui peuvent emboiter le pas à l’Etat.
Prenons l’exemple sur le président club de l’AS Kaloum, Aboubacar Dinah Sampil, regardé comment transformer le terrain de la Mission à Kaloum et un stade digne de non. Mais on a plusieurs Sampil en Guinée. Donc, je demande à tout le monde de faire quelque chose pour ce pays. La Guinée nous appartient tous, il ne faut dire, comme moi je ne suis pas président de la République, ministre, directeur ou mon ethnie n’est pas au commande je fais rien, non ce n’est pas ça la solution.
La solution donnons- nous la main pour sortir notre pays dans cette douleur qui ne fait que durée ».

BIS