Aujourd’hui, l’avortement est l’ultime solution pour de nombreuses jeunes filles ayant des grossesses non désirés, lorsqu’elles tombent enceintes, certaines jeunes filles recourent vite à l’avortement.

Cela pour de diverses raisons, elles vont en cachette pour voir certains médecins à la recherche des revenus pour arrêter volontairement la grossesse. Mais, malheureusement dans la plupart des cas, ces avortements se font dans les conditions précaires.

Cette pratique à des conséquences non négligeables sur ces femmes : Saignement abondant, douleur et certaines peuvent même trouver la mort lors ou après l’interruption volontaire de grossesse.

Selon Aminata Camara, élève du terminal Science Expérimentale au lycée Matam, « garder une grossesse étant célibataire n’est vraiment pas facile, être mère à bas-âge sans aucun moyen de subsistance, ni de revenu fixe.

Une jeune fille qui met au monde une ou plusieurs enfants sans autant être mariée, généralement connaitra une vie de parasite. Je me dis, que c’est tout ce qui pousse certaines filles à faire l’avortement. »

A côté ajoute Fatoumata Oularé Médecin à l’hôpital de Matoto, « pour les jeunes filles, la pression vient probablement du fait qu’on les trouve trop jeunes pour être parents et responsables, l’avortement, étant souvent perçu par leur entourage comme la meilleure solution, les femmes se sentent contraintes par les circonstances de la vie. L’avortement en subissent d’avantages les conséquences négatives, les jeunes filles sont beaucoup moins préparées à assumer une charge familiale et sont logiquement pousser à avorter.

Souvent, elles sont délaissées par la famille et l’auteur de la grossesse, elle n’obtient aucune aide et aucun  ne soutient de leur part. »

Donc, je demande à toutes les jeunes filles qui le pratiquent, d’être responsables de ces actes. Car, d’autres parts la religion musulmane nous condamne à le faire.

Ibra Bangs