Pris de cours, il tente de sauver un faciès monolithique par de manœuvres, que l’on ne peut « dire » autrement que « politicardes ».

L’option hasardeuse sans fondement ni orientation qu’il vend ou plutôt tente de vendre est et demeure vicieux, d’autant qu’il reste flou au sens propre du terme dans ses dires. Sans rempares symbolique, il entraîne sa muse dans un état second et s’y noie.

Ceci dit, que le Député Mamadou Cellou BALDE, ignore totalement son ignorance en s’exprimant sur les Fédérations de l’Europe, faisant référence sur de prétendues déclarations communes,  dans un langage ambigüe, et mieux se trompe royalement d’époque en citant de « liesses populaires en Guinée », sans sonder l’arbre de leurs causes.

S’exprimant sur le cas BAH Oury, 1er Vice – Président de l’UFDG, il affirme, je cite : « Je crois que Mr. BAH Oury est en déphasage avec Les militants et responsables du parti à tous les niveaux… » Fin de citation.

Son sectarisme affiché sonne le glas d’une infirmité entretenue depuis belle lurette. Si l’UFDG reste soudée plus qu’hier à travers ses militants, cela ne met en cause la dénonciation des tares en son sein. Les valeurs communes au-delà des sentiments et des euphories de foules doivent être les boucliers du parti, naturellement incarnées par ses responsables.

Mais le suivisme sentimental et émotionnel dont fait preuve sa catégorie fait ressortir le pourquoi pense-t-on « dans leur secte » que l’UFDG est un parti ou plutôt « une oligarchie d’opposition ». S’il est vrai que les mêmes causes produisent les mêmes effets, il faut être « con » pour croire que la même stratégie produise de résultats différents à différents essais.

Les militants de l’UFDG vont être édifiés sur « le ménage », par la volonté de puissance et de culte de la personnalité, de cette secte dans toute sa sorte.

Toute vérité ayant bonne mémoire, l’on ne dira jamais assez, que l’on est d’autant plus lourd que l’on est plus petit. Même si leur confiance repose sur leur petitesse, il est possible que ça soient leurs esprits fragilisés  qui sont en déphasage avec la réalité nouvelle. Car le « changement » est et sera défendable et défendu à l’UFDG. La « Monopartisannerie » sera décriée et éradiquée. Et l’heure a bel et bien sonnée.

Mohamed Lamine KEITA
Chargé de Communication de l’UFDG/ France