C’est dans une ambiance festive, qu’a pris part le Ministre de la justice garde des sceaux, M Cheick Sacko, le secrétaire Général du ministère de l’Industrie et plusieurs membres au conseil commercial extérieur français et les corps diplomatiques accrédités en Guinée.
À l’ébauche, l’Ambassadeur de France en Guinée, M jean Marc Grosgurin intervient en ces termes : C’est un départ qui concerne Ariski Azzouk qui est déjà là depuis plusieurs années, qui aime beaucoup la Guinée, qui fête son deuxième séjour déjà. Et comment dire, il y a pas 2 sans 3, on espère que le troisième séjour bien sûr interviendra dans un avenir proche peut-être. En tout cas ;
Monsieur le Ministre d’Etat, Madame l’Ambassadrice, Excellence, Monsieur le Secrétaire Général du Ministère de l’Industrie, Merci, chers compatriotes, chers partenaires merci encore à tous d’être là ce soir, pour dire au revoir à Ariski qui parte le mois prochain. Je crois que on voulait l’image… sur la Guinée, vous savez quand, on venait de la Guinée, et malgré les vicissitudes rencontrés sur quelques choses d’attachant, on aime ce pays malgré tout et c’est aujourd’hui un black Friday.je crois alors c’est vrai que c’est importé des Etats Unis, mais je pourrais suggérer à Ariski de se faire une promotion sur les XXL et sur les Guilux ce soir. S’est-il amusé
Normalement que je vous ai agacé, en tout cas juste pour ce soir dire à Ariski une chose est sure, qu’il a aimé la Guinée et il c’était donné corps et âme pour son entreprise, pour le rayonnement aussi économique de la France et puis pour la Guinée. Ce soir, je crois qu’on se trompera pas, tu as pu en quelques années deux fois nouées des contacts, des relations importantes, c’est un témoignage ce soir des gens qui sont là, qui ton apprécié, qui souhaitent aussi te témoigner leur reconnaissance, leur amitié pour tout ce que tu as fait pour le pays, puis te souhaiter bonne chance dans les prochains, on dit rien. A-t-il témoigné.
En tout moi, c’est plutôt au titre du président du conseil de commerce extérieur de France (CCEF), du président du conseil extérieur, tu as été un conseiller du commerce extérieur actif, très assidu, bien discipliné, participant à toutes les réunions presque. Et puis, poursuit-il, tu as été un président du conseil extérieur très animateur du groupe et c’est important parce que ça rencontrait aussi la stratégie de l’Ambassade, stratégie de diplomatie économique, bien sûr et échanges entre nous, entre l’équipe de l’ambassade était très fluide et c’était important aussi pour le rayonnement économique, commercial de la France dans ce pays, dans lequel il y avait des opportunités, dans lequel il y a définir un avenir. A rappelé le chef des diplomates français en guinée.
Dans le même sillage, l’ambassadeur Jean Marc Grosgurin soulignera les aspects importants de sa mission en guinée : je crois en matière d’énergie, d’accès à l’eau, d’infrastructure, de l’éducation, la santé. Parce que ce pays à tient, ce pays à des opportunités et il y a tant à faire, en tant que président du CCEF, c’était ton rôle, était d’être un interlocuteur pour l’ambassade, pour les autres entreprises françaises et pour le pouvoir public guinéen et le secteur privée guinéen aussi. Tu avais un rôle d’animation, d’échange d’information et je crois que ce qu’il a autour, tu étais très apprécié pendant ces derniers mois. Evidemment l’Afrique est un grand continent, tu connais, tu as fait plusieurs séjours dans différents endroits, alors m’a dit que tu souhaitais rentrer en France pour le moment, mais quelques part il y a une idée d’aller, de se retourner quelques part dans la sous-région. En tout cas en Afrique, quand on aime l’Afrique, tout y était pour qu’on y revienne.
Nostalgique de son compatriote, M Grosgurin se dit, Alors peut-être qu’on s’y retrouvera, donc nous te souhaitons le meilleur, nous te disons merci, comme le président de CCEF. Bien sûr le nouveau de CCEF désigné, pressenti, ne se cache pas très loin, il y aurait aussi derrière le pilier qui était là, voilà, c’est officiel donc on peut dire une transition entre deux présidents, donc le président de CCEF actuel et puis le futur, donc Jean Christophe qu’ont souhaité également la bienvenue. En tout cas ARISKI AZZOUK ce soir c’est ta fête, mais nous souhaiterions être autour de toi te dire bon vent, tous les vœux t’accompagne dans ta mission dans cette nouvelle vie et certainement ce n’est pas un adieu peut-être à nous revoir soit, en Guinée ou dans un pays Africain, car l’Afrique réserve beaucoup de surprise et de bonne surprise. A-t-il conclu.

Pour sa part, l’ex Directeur Général ARISKI AZZOUK dira ainsi : c’est un honneur pour moi de remercier Monsieur l’Ambassadeur de France d’avoir cette délicatesse de nous accueillir ici, lui et ses équipes ont organisé cette soirée à laquelle pour être honnête, je tenais parce que je pense c’est le moment de remercier certaines personnes, notamment aux autorités guinéennes, Cheick Sakho, mon ministère de tutelle, qui est l’Industrie et qui nous a beaucoup aidé, parce que nous travaillons en partenariat avec le ministère. Et d’ailleurs en tant que président de CCEF, j’ai toujours prôné le partenariat avec les Institutions, car c’est une des bonnes sécrètes de la réussite de l’entreprise française, avance-t-il comme soutien bien sûr je ne peux pas quitter ce pays sans saluer l’ensemble des salariés de la SOBRAGUI, dont les représentants sont ici et sans saluer mes collègues de CCEF qui travaillent jour et nuit pour l’évolution de l’entreprise française. Ce pays qui a les mille et une merveilles. Donc ce pays qui m’a accueilli, je suis convaincu, sortira de l’ornière un jour et je sais le pays va y arriver j’espère qu’il va occuper la place qu’il faut, je ne peux pas quitter ce pays sans saluer les amis qui m’ont soutenu que ça soit des guinéens et français, car c’est des gens qui m’ont bien accueilli. Ainsi va la vie, je quitte le pays pour des raisons strictement personnelle, c’est une décision purement personnelle dira-t-il, tout en concluant retrouvé un jour ses amies.
Décrypté par Amara Touré