Accusé de partialité à l’égard de certaines formations politiques,pour manque de transparence dans le processus électoral estime l’opposition. le président de la CENI a quant à lui a affirmé au cours d’une conférence de presse ce mardi dans ladite institution  » que personne ne peut faire gagner ni faire perdre un candidat », ceci dit que le fonctionnement de la CENI me permet pas un  tel scénario.
Plus loin, le responsable de l’organe électoral a dénoncé que  » c’est des mots pour faire mal » s’est il lamenté.
Dans le même sillage, le président de la CENI souligne la responsabilité collective sur le présumé enrolement des mineurs dans certaines localités du pays, tout en indiquant que les « 70% des fautes reviennent des partis politiques ». Cela s’explique ainsi que les CAERLE sont constituées des formations politiques et de MATD, qu’en acceptant cette présumée pratique, il devient une erreur collective, a martelé Me. KEBÉ.
autant dire que le processus électoral est en ébullition, sachant que l’opposition Républicaine menace de rejetter les législatives prévues le 16 février 2020 et bien attendu empêcher son cours normal, tant que le fichier électoral ne soit pas correctement assaini.
Amara Touré