De nos jours, nos établissements scolaires sont confrontés à des troubles mentaux chez des élèves sous l’effet des stupéfiants provoquant parfois à des incompréhensions entre les enseignants et les élèves. La consommation de ces stupéfiant dans ce milieu constitue un handicap pour l’éducation de nos enfants. C’est pourquoi, les responsables des différents établissements scolaires ainsi que les parents doivent prendre leurs responsabilités en vue de freiner ce fléau qui prend de l’ascension.
La drogue est toute substance de consommation qui a pour objet de mettre le consommateur au-delà. La normale soit en lui faisant des illusions, des hallucinations, voir même en lui insufflant des pensées négatives lui poussant même à être agressif.
Comme nous savons, le milieu scolaire regorge plusieurs catégories de personnes à savoir les professeurs, les élevés, la direction etc.
La consommation de la drogue peut pousser des jeunes élèves à partir loin dans ses actions jusqu’à brutaliser certains élèves, ce qui finira par être un très grand problème pour l’établissement.
‘’ Et imaginons un peu qu’un droguer se laissant conduire par ses hormones arrive à violer une fille et cela sera le comble, avec la drogue dans le milieu scolaire. C’est ouvrir l’école à toutes formes de menaces et toutes formes d’incidents ‘’ a dit un observateur averti qui propose : « Chacun doit jouer sa partition pour le plus grand bien de l’éducation de la jeune génération qui devra sans doute prendre la relève de ce pays. Mais, si nous passons à côté, c’est tout le pays qui en récoltera les conséquences. C’est dans cette optique, que je demande aux parents, aux responsables des écoles ainsi que les autorités compétentes à donner le maximum d’eux-mêmes pour donner la bonne éducation à nos enfants. Car, pour moi, la consommation de la drogue n’a aucun effet positif ni pour la société qu’en milieu scolaire ».
Cette pratique néfaste en milieu scolaire interpelle les acteurs à tous les niveaux. Car, elle contribue non seulement à la destruction de l’avenir de nos enfants mais aussi ternir l’image de nos établissements scolaires. Les échecs de cette année dans les différents examens nationaux en sont des preuves illustratives.
Fatoumata Camara